Lindsay,Lucas,Marion et tant d’autres, la liste des jeunes adolescents harcelés jusqu’au suicide ne cesse de s’allonger depuis le début de l’année scolaire, le dernier celui de Lindsay à eu le mérite de réveiller la classe politique, mettre en lumière ce problème qui ne cesse de progresser au cours de ses dernières années.
Hier le ministre de l’éducation nationale Pap Ndiaye à décide de rendre obligatoire une heure de sensibilisation contre le harcèlement scolaire.
Le but est de montrer l’impact des réseaux sociaux à travers le harcèlement, de responsabiliser chaque personne, qu’il n’y a pas de petit harcèlement, chaque action peut avoir un impact aux conséquences désolantes. 
Ce n’est pas la seule mesure prise par le gouvernement, en 2021 le programme pHARe avait été testé en Bretagne pour être ensuite appliqué dans tout le territoire. 

Cependant ses mesures ne suffisent pas pour les syndicats d’enseignants, on parle beaucoup de précipitation politique, une réponse à la pression mise par les familles de victimes, qu’une simple heure ne peut pas suffire à traiter ce problème.
La nouvelle mesure du gouvernement est décrite comme une réaction à l’urgence sans se soucier réellement de la réalité du terrain. 

Mais tout ne peux pas passer seulement par la classe politique cela doit passer par un changement de nos comportements, tout d’abord la limitation à certains réseaux sociaux qui sont utilisés de plus en plus tôt sans se soucier de la limitation de l’âge. Chose d’ailleurs appliqué dans plusieurs pays comme en Irlande à Greystones, où le téléphone portable est interdit pour les moins de treize ans. 
Le but est que nous soyons acteur de ce combat. 

En cas de Cyber-harcèlement vous pouvez vous faire aider, plusieurs numéros sont mis en place dont le 3018. 

OTALORA Thomas